Le Npa 81 aux côtés des salarié.es d'Aldi à Saint-Sulpice-la-Pointe (81)
Depuis le 28 avril les salarié·es de la plateforme logistique d’ALDI à Saint-Sulpice- la-Pointe sont en grève. En paralysant l’entrepôt géant de leur entreprise ils et elles se battent pour réclamer des augmentations de salaires (400€), de véritables négociations annuelles obligatoires (NAO), l’amélioration de leurs conditions de travail, leur « sécurité physique et mentale » et refusent les pressions subies pour augmenter les cadences et le rendement. Déterminé·es, un piquet de grève monte la garde jour et nuit, « pas un camion ne rentre, pas un camion ne sort »
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Défendre l'hôpital public avec les travailleuses et les travailleurs du CH de Lavaur
En assemblée générale, à l’appel de l’intersyndicale (CGT-FO-CFDT) les salariés de l’hôpital de Lavaur ont décidé du principe d’une grève générale pour défendre leurs conditions de travail, leur emploi et la survie du centre hospitalier
Leur diagnostic est sans appel, elles et ils font face à une très forte dégradation de leurs conditions de travail, d’accueil et de soins, en particulier sur le pôle personnes âgées ou sur celui de la psychiatrie.
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Le rassemblement au tribunal d'Albi de ce jour est interdit par la préfecture
Par son arrêté d’interdiction du rassemblement du 26 septembre pour la dissolution du groupuscule d’extrême droite Patria Albiges, devant le tribunal correctionnel d’Albi, le préfet du Tarn abuse de son pouvoir ! Il tire un trait d’égalité entre un groupuscule raciste, violent et l’ensemble des organisations démocratiques et syndicales qui demandent son interdiction. Il ose comparer cette initiative antifasciste et antiraciste à l’appel haineux du groupe Patria Albiges contre le projet de CADA, centre d’accueil pour demandeur d’asile, à Réalmont.
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Communiqué : Leur justice n’est pas la nôtre
Le Npa 81 adresse son soutien fraternel et anticapitaliste aux 5 camarades militants syndiqués ou non qui comparaissaient devant le tribunal d’Albi ce mardi 2 mai à la demande du préfet et de la Maire d’Albi, pour avoir déplacé une ganivelle (barrière en bois) et dégradé soi-disant le portail de la préfecture.
Le vide de l’accusation et le peu de sérieux des reproches énoncés par le procureur n’ont pas gêné la justice à condamner 2 d’entre eux à 4 mois de prison avec sursis en attendant un dernier jugement qui évaluerait des dégâts inexistants.
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