Sur la venue de E. Macron dans le Tarn

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En 2017 E. Macron nous proposait un nouveau monde avec ses candidat.es marcheurs.euses, en 2022 à qui peut-il faire croire cela ? Pour mémoire : Catastrophe sanitaire, les hôpitaux ferment des unités entières faute de personnel ; Catastrophe sociale les pauvres toujours plus pauvres et les riches s ‘engraissent, les prix flambent, les services publics tombent en lambeaux ; Catastrophe éducative il n’y a plus assez de professeurs, ils ne sont plus tou.
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Mobilisation du 7 juin : pour les urgences et l’hôpital, urgence vitale !

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120 services d’urgences en détresse, des personnels à bout, l’hôpital craque. À Bordeaux, 750 000 habitantEs, les urgences du CHU sont fermées la nuit, avec 40 % des médecins qui sont en arrêt, en burn-out ou qui ont démissionné ! Une tente de la Croix-Rouge filtre les entrées. Seules les urgences vitales régulées par le Samu ont porte ouverte. À Orléans, une personne âgée décède seule sur un brancard, faute de soins et de personnel, précipitant la grève et l’application d’un plan blanc, c’est-à-dire le report des interventions non urgentes pour libérer des places, comme dans une soixantaine d’hôpitaux.
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CONTRE MACRON 2, CONSTRUISONS LA RIPOSTE SOCIALE ET ANTIFASCISTE !

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L’élection présidentielle a permis à un Macron bien mal élu d’entamer un nouveau quinquennat. La nomination d’Élisabeth Borne comme Première ministre est la promesse de politiques brutales dictées par l’ultra-libéralisme et l’autoritarisme, face auxquelles il faudra continuer à s’opposer par tous les moyens – à commencer par la construction d’un mouvement pour les retraites, contre le recul de l’âge de départ à 65 ans. Un danger toujours présent, mais aussi des raisons d’espérer
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Pas une voix pour Le Pen,construisons la riposte sociale

Pas une voix pour Le Pen,construisons la riposte sociale 10 jours après le premier tour de la présidentielle et à quelques jours du second, force est de constater que les tendances à la polarisation observées le 10 avril se sont confirmées. L’urgence est à la mobilisation contre Le Pen, qui ne doit pas obtenir une voix de notre camp, mais aussi à la préparation des batailles sociales à venir. Les résultats du premier tour ont exprimé à la fois un rapport de forces dégradé et une polarisation, certes déformée par le mode de scrutin particulièrement antidémocratique, dans la situation politique avec, d’un côté un bloc réactionnaire dirigé par Le Pen, de l’autre un bloc de classe dirigé par Mélenchon, et un centre en équilibre instable autour de Macron.
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