Condamnation en justice de trois membres de Patria Albigés : les discours de haine sont une menace pour notre société

© Marion Chouly - Radio 100%
Ce mardi 12 décembre 2023, comparaissaient devant le tribunal correctionnel d’Albi trois membres de Patria Albigés, groupe identitaire qui sévit dans le département du Tarn depuis plusieurs années. Les trois militants d’extrême droite étaient convoqués pour une opération menée le 10 juin dernier : ils avaient saisi le prétexte du drame survenu à Annecy pour diffuser, au moyen d’affiches xénophobes, une propagande raciste, stigmatisant les immigré·es. La LDH et le MRAP se portaient parties civiles dans ce procès pour dénoncer l’action d’un groupe d’extrême droite qui propage la haine et le nationalisme agressif.
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Communiqué suite à l'abandon du projet de CADA à Réalmont

© NPA
Ouverture des frontières, liberté de circulation et d’installation Le CADA ( Centre d’Accueil et Demandeurs d’Asile) de Réalmont n’ouvrira pas comme prévu en juin. La mobilisation du député d’extrême droite et des groupuscules fascistes de la région ont fait céder le préfet. Le plus désolant dans cette affaire est la position du préfet du Tarn : pleutre ou manipulateur ? Ou bien il s’est dégonflé devant les menaces racistes… ou bien il a instrumentalisé ce CADA pour complaire à l’extrême droite.
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Cabrolier est bien un député d’extrême droite !

© Photothèque Rouge /Martin Noda / Hans Lucas
Rappelons pour la petite histoire que le nom de son parti rebaptisé en 2018 « Rassemblement National » a une filiation pétainiste (déclaration de 1936) à une époque ou l’extrême droite voyait déjà le progrès social comme un facteur de paresse et de désordre et l’empire colonial comme le symbole de la grandeur nationale face à la population indigène. Quelle poésie ! Aujourd’hui le député Cabrolier se voudrait être dans le camp de l’opposition à Macron.
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Communiqué : Leur justice n’est pas la nôtre

© Harmonie Pacione / FTV
Le Npa 81 adresse son soutien fraternel et anticapitaliste aux 5 camarades militants syndiqués ou non qui comparaissaient devant le tribunal d’Albi ce mardi 2 mai à la demande du préfet et de la Maire d’Albi, pour avoir déplacé une ganivelle (barrière en bois) et dégradé soi-disant le portail de la préfecture. Le vide de l’accusation et le peu de sérieux des reproches énoncés par le procureur n’ont pas gêné la justice à condamner 2 d’entre eux à 4 mois de prison avec sursis en attendant un dernier jugement qui évaluerait des dégâts inexistants.
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